mardi 15 mai 2018

CENT



Voilà plus de deux ans que cette aventure nous fait vivre émotions, évènements, rencontres, actions, avec une bonne dose d'imprévu et d'aléas.

Voilà presque deux ans que ce blog vous propose de vivre tout ça par procuration, bien au chaud, calé dans le confort d'une vie sans maitre d’œuvre, ABF et artisans. Les veinard(es) que vous êtes !

Ce blog, sans autre velléité que de (nous) vous raconter ce projet fête avec ce post, son centième article. Combien y en aura t'il à venir ? Je ne le sais pas. Seule certitude, il s'arrêtera lorsque nous serons vraiment "retournés à l'école". Quand la mue sera effectuée, celle de l'ancienne école et la nôtre bien sûr. 
En attendant ce jour, dans six mois, peut être un peu plus à la vue du retard déjà pris - vivent les fériés de mai...-, nous allons continuer à narrer cette petite tranche de vie.

Actuellement, les travaux s'enchainent, tous les murs ont reçu leur première couche d'enduit, la maçonnerie est bien avancée, les sondes de géothermie sont enfouit à plus de cent mètres de profondeur, les canalisations étoilent le sol, les charpentiers ont posé solives...etc...

Des photos vont illustrer ce récit.

Vous dire juste avant que nous avons deux vies actuellement et que le passage de l'une à l'autre nous coute de plus en plus. Le temps de se réjouir des allées et venues est sans doute en train de passer. Sans parler du coût écologique (et économique) de tous ces déplacements - nous n'avons cependant pas de compte carbone -, il faut bien dire qu'avant même de migrer, notre centre de gravité s'est sensiblement déplacé au sud-est quelque part dans le bocage bressuirois.

D'un côté, ici, la partie la plus ardue du projet, à savoir le volant administratif et financier (mails, paperasse, devis, factures...) et là-bas, la réalisation concrète, le jardin, la terre, le végétal. Le corps qui retrouve une fonction et un nouvel enracinement.

Le mouvement de yoyo entre nos deux vies devient fatiguant. Il va falloir tenir encore un peu....

Heureusement le blog est là. Passerelle éphémère, quelque part en équilibre entre ces deux topiques...

Sans amarres
Le blog vogue
Cent posts mais toujours sans lieu
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire