mardi 12 mars 2019

CAP A L'EST



Me revoilou...

Pour quelques pages ou plus.
Si affinités et envie de causer dans le poste.

Et aussi pour la poignée de lectrices et lecteurs (une trentaine) qui, malgré la mise en réserve du blogueur, est restée assidue.
Au fait, savez vous combien vous avez été à cliquer depuis la création de ce blog (juillet deux mille seize) ? 
Selon mon compteur automatique (merci Anaïs) qui récupère vos traces depuis juillet deux mille dix sept - soit un an après le début du blog, vous avez été trois cent vingt cinq à vous connecter au moins une fois pour un total de quatre mille deux cent huit sessions. Vous êtes majoritairement en France (soixante et onze pour cent), les autres connections s'étant faites dans une trentaine de pays différents...

Cela vous fait une belle jambe...Minuscule audience à l'heure de la mondialisation diront les moqueurs. Peu me chaut, cette petite audience me suffit. Tant qu'il y aura une oreille (et surtout une paire d'yeux) pour m'écouter...

Je suis donc devenu depuis samedi dernier un habitant à plein temps de la vieille école. L'océan est à l'ouest, je suis à l'est. Vous remarquerez que tout le monde est à l'est de quelque part. 
Ce qui n'empêche pas les hommes (plus que les femmes) d'être en général plutôt à l'ouest...suffit de regarder autour de soi et de voir l'étendue des dégâts.

Douze mars, frais mais encore ensoleillé en attendant une dépression qui viendra cet après midi...de l'ouest !
Comment voulez vous que le temps ne déprime pas ? Ai regardé hier soir Thalassa à la télévision - je pensais que cette émission avait disparu, corps et bien, coulé avec son capitaine Georges Pernoud - et j'y ai vu moult dépressions. Ce n'était pas sans faire de vague. 
Du genre "emporté par la houle..."

https://www.france.tv/france-3/thalassa/#xtor=SEC-2-GOO-[Nouvelle%20%C3%A9mission_Exact]-[Thalassa]-[thalassa%20replay]

Donc à l'est. Et ne sachant pas par quoi commencer...
Où en étions nous rendus dans l'histoire de ce "Retour à l'école"?

A vrai dire, va falloir que je remonte un peu en arrière pour retrouver le fil et éviter de radoter et de vous raconter de vieilles histoires

En attendant, nous initierons cette nouvelle tranche de blog par un clin d’œil aux minots qui attendaient depuis longtemps l'arrivée des grands parents. Pas de plus beau retour.

Mi janvier donc, quelques semaines après le déménagement, les voilà donc en weekend à l'école avec une première nuit dans la vieille bâtisse. 

Histoire de crêpes dans l'arrière cuisine (en prémisse de la Chandeleur) et de lecture dans les ex chambres des Sœurs de la Puye.

A suivre












2 commentaires:

  1. Le blog reprend vie, peut être pour peu de temps certes, mais la vie est là, et je remarque que les horaires d'écriture ne sont plus les mêmes, beaucoup moins tardives.
    Je voie aussi que tu es dans les chiffres, alors allons y ! . . .
    Ce blog c'est :
    120678 KO - 1405 pages (avant compression et enlèvement des lignes inutiles ou vierges) -
    84912 mots - 1636 photos (parfois en double, voir triple, mais elles y sont !)
    Et pour que vous puissiez ne rien perdre de cette grande aventure, en ce qui me concerne c'est plusieurs heures de récupération et 4 heures de relecture avec ta sœurette pour être certaine de n'avoir rien oublié, ni un point, ni une virgule, ni un commentaire.
    Tout ceci est sauvé et vous appartient, nous en reparlons dès que vous le souhaitez.
    A bientôt.
    La Marie du 56

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  2. Je savais que tu avais essayé mais je pensais que tu avais renoncé au vu de la difficulté...
    Je suis épaté! Et heureux qu'une forme physique et sensible soit donnée à ces presque trois années d'aventure. Cela sera l'occasion d'un échange ici avec toi.

    Sur le devenir du blog, je ne sais pas trop...Le "retour à l'école" est est une réalité depuis quelques jours et le récit devrait s'arrêter là.
    Mais...mais je suis un bavard et l'envie de continuer à raconter des histoires est toujours là! Et tant qu'il y aura des lecteurs...Jean de Haute Garonne m'encourage à continuer.

    Je réfléchi, on verra bien.
    Merci chère Marie du 56. Je t'embrasse.

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