lundi 8 octobre 2018

LES ACTUALITÉS 
OU
QUELQUES ÉVÉNEMENTS SANS GRAVITÉ SURVENUS A L’ÉCOLE CES DERNIÈRES SEMAINES
1ère PARTIE


La pluie
L'automne, depuis quelques semaines nous montrait quelques signes de présence. Léger jaunissement des feuillages, raccourcissement assez net des jours et absence des hirondelles. 
Dans le bocage nous ne les avons pas vu partir, juste découvert leur absence fin septembre.

Nous manquait tout de même l'essentiel, la pluie. 
Elle a enfin pointé ses gouttes mouillées le weekend dernier.
Petite joie mais jubilation renforcée par le fait que le terrassier, après moult rappels, était venu quelques jours au préalable connecter les descentes de dalles au réseau d'eaux pluviales. 
Petite joie d'entendre la pluie courir sur le zinc, tel un carillon et rejoindre les cuves.
Que demander de plus ? Il y a des plaisirs modestes qui vous comblent.




Les récoltes
Est venu le moment de la récolte des pommes de terre, première du nom après quelques décennies de jachère. Les quatre sillons ont été prestement et sans hésitation ouverts. La récolte des deux variétés - l’Émeraude et la Désirée - ont donné lieu à comparaisons et remarques. L'an prochain, il semble que Désirée se fera espérer ailleurs. Émeraude a visiblement contenté la jardinière.



La séance de ramassage a été suivi d'une séquence de bricolage pour aménager des clayettes. Ainsi l'entreposage a pu se faire à la cave.
 


 
Les pommes ont suivi le même chemin.















La grappe de raisin n'a pas soufferte d'être conservée, de (jeunes) bouches gourmandes s'en sont occupées



Les trous 
Toujours à la recherche d'hypothétiques cuves anciennes enterrées par nos prédécesseurs ou d'un puits oublié et condamné, voir d'un trésor enfoui par une bonne sœur qui voulait échapper au fisc, le blogueur s'est adonné en septembre à l'un de ses passe temps favori depuis deux ans, creuser.
Intrigué par une buse sortant du bâti là où d'anciennes tinettes se tenaient à l'arrière de l’école (depuis détruites sous les coups de masse du JP blinois), j'ai filé la buse et creusant de mètre en mètre pour connaitre son destin, je suis tombé à quinze pas de la cave sur...une plaque de tôle.
Ciel, m'y voilà rendu me suis-je dit.



Las, après avoir mouillé ma chemise et dégagé avec beaucoup de mal la chose, je n'ai trouvé que pierres et cailloux...En fait un puisard traditionnel, où foin de la règlementation, les déjections s'en allaient nourrir le sol. 



Et la tôle? 
D'après Roger notre voisin, la portière d'une vieille voiture.



Sachez que je renonce pas à trouver un puits. Comment imaginer une école plus ancienne que le service d'eau sans accès à l'eau? 
Preuve supplémentaire, en septembre nous avons rencontré un deuxième quidam qui, après Michelle une ancienne élève de l'école des années cinquante, nous a parlé du puits.

A suivre...

2 commentaires:

  1. Seul je vais
    A la lisière du pré solitaire
    Ciel d'automne

    De cette terre qui sait
    Un éclair jaillira
    Dans le soir naissant

    Et avec une baguette de noisetier (double la baguette) çà marcherait peut-être... Bon courage!

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    Réponses
    1. Pourquoi pas? Comment savoir si l'on possède ce don?
      Faute de révélation, d'opportunité, combien de personnes ont vécu sans savoir qu'ils pouvaient trouver les source?
      Et comment les sourciers en exercice ont-ils découvert leur don?

      Pour une première fois, je prendrai trois baguettes...

      Je viens de fouiner sur internet et sur le site de "conscienceverte.fr" la méthode pour fabriquer la baguette y est décrite et illustrée. Reste plus qu'à trouver un coudrier...
      Pourquoi pas au village voisin de La Coudre?

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