Je sais, nous avions promis...
Mais comme le disait Henri Queuille (si l'on en croit wikipédia)

"les promesses n'engagent que ceux qui y croient"

Au moment où la campagne pour les futurs élections présidentielles démarre-si elle s'est arrêtée un jour, voilà un apophtegme à méditer...

Donc vous attendrez encore un peu pour en voir plus.  

Si j'en crois les conversations de ce weekend, ça carbure sérieusement. 
Sauf peut être pour quelques ténors de l'informatique qui cherchent encore le bouton de démarrage du blog...
N'est-ce pas Jean-Yves?

Ou pour celles qui tentent en vain d'appuyer sur la touche "répondre"...
N'est-ce pas Marie-Pierre?

Et que dire de ceux qui se sont égarés sur des chemins sans issue...
N'est-ce pas JPMA?

Ne vous découragez pas, cherchez encore, demandez de l'aide à vos enfants ou lisez les aides en ligne...

Et n'étant pas complètement mauvais et pervers, voici une photo mystère, comme au bon vieux temps du concours Ouest France

Le 1er qui trouve aura un petit cadeau...

Pour mettre à égalité tout le monde et lutter contre la fracture numérique, toutes les formes écrites de réponses sont acceptées (sms, mail, réponse sur le blog, courrier, télégramme). Nous publierons sur ce blog toutes les réponses. Vous avez 2 semaines pour réfléchir, le temps de nos vacances...A vos imaginaires et autres fabuleries...

Bien sûr les initiés, et ils tiennent sur les 2 doigts d'une main, sont invités à rester coi sur la véritable nature de cette photo. En revanche ils ont le droit de proposer d'autres interprétations...

Où en étions nous?

Pendant que Fabienne explorait la cave et ses habitants, je furetais dans cet étage abandonné; les habitantes étaient parties. Parties sûrement mais mon dieu pourtant bien présentes...
Parties où? Sans doute sur les chemins à la recherche de ce...

"Dominique, nique, nique qui s'en allait tout simplement,routier, pauvre et chantant.."

Si quelqu'un a des infos sur ce gars là, je suis preneur. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il devait avoir du charme, elles sont parties en laissant quelques souvenirs.

Entre la cave et l'étage, me direz vous il doit bien y avoir quelque chose. Certains d'entre vous ont déjà rassemblés des indices et supputent...nous avons reçus quelques mails qui émettent des hypothèses. 
Faux suspense mais suspense quand même, histoire de faire durer le plaisir (le nôtre bien sûr)
Promis. On vous a dévoilé le haut, dans quelques jours on vous montre le bas!
On vous montre (presque) tout avant de partir en congé...
Pour l'histoire et ses péripéties par contre faudra attendre notre retour..

En attendant, voici quelques images, histoire de tourner encore un peu autour

Un tilleul, peut être même 2, pourquoi pas 3

la petite porte au n°3 rue... une entrée remarquable

 des arbres au pied du mur

faire le mur, grimper aux arbres et l'inverse

un petit coin de verdure

 

 

 Et n'oubliez pas le célèbre proverbe sencivien

"certains compromis permettent les passages à l'acte"

Y a aussi Patrick NESS (que je n'ai pas lu-merci nenet) qui dit à propos des actes que 

"On n'écrit pas sa vie avec des mots. On l'écrit avec des actes. Ce que tu penses n'est pas important. C'est ce que tu fais qui compte."

Dans notre cas, ça commence à compter...

Et tant qu'on y est, puisque avec ce blog on est dans la mise en Cène

"C'est surtout au théâtre que chacun est responsable de ses actes."

Là c'est ce brave et facétieux Jules RENARD, dans son journal

De la cave à l'étage..

Histoire de s'élever...

Eh non toutes les habitantes ne sont pas parties, j'en ai débusqué un, un peu hagard, mais pas farouche, il a dû être oublié ? 

                                Où ?

Dans la CAVE !

L'autre jour, je parlais des anciennes habitantes et des traces qu'elles avaient laissées...

D'autres signes architecturaux ont accroché nos regards...

Le temps a passé.
Les niches sont devenues muettes, les lucarnes rendues aveugles et les fenêtres sourdes aux sollicitations. 
Qu'y avait-il à voir et à sentir?  Quels murmures derrière ces arcs, ogives, œil de bœuf...
Quand nous nous sommes promenés dans ces lieux, ce 30 avril, le silence seulement.

Le 30 avril dernier, nous disions donc, nous avons fait glissé la porte en bois. A noter que cette porte n'était pas fermée à clé. Nous avons su plus tard que la clé du verrou était perdue. A moins que ceux qui vivaient là aient jeté la clé...
Non ce n'est pas une maison bleue et le village est certes à une certaine hauteur mais on ne peut pas parler de colline.

D'ailleurs les dernières habitantes semblent avoir quitté les lieux il y a déjà un bon moment...

Les indices laissées laissent à penser que portes ouvertes ou portes fermées, elles étaient de toute façon sous Bonne Surveillance et en Sécurité...

 

Je sais qu'il y en a qui trépigne d'impatience,

"qu'est ce que nous raconte les rincé ?"
" qu'est ce qui leur arrive ?"

J'entends les commères y aller de leur langues de vipères.
Je les entends caqueter comme des poules dans leur poulailler

"comment vous savez pas ....."

A t'elle pris l'habit ?

"Ils sont tellement bizarres"

Une (re)conversion peut être ?
Je vous laisse méditer ....

La Fafa qu'en a ....